
nouvel entretien

Sorj Chalandon
« Je demande aux colombophiles d’ouvrir leurs pigeonniers. De libérer leurs oiseaux. De venger tous les mineurs du monde en s’emparant du ciel. »
Sorj Chalandon
Reclus dans la montagne, un père et son jeune fils se retrouvent seuls suite à un drame. Formant désormais un duo imprévu, ils devront s’apprivoiser. Une expédition forcée les mènera à un point de non retour.
Ce roman, prix Nobel en 1954, n’a peut-être jamais été plus actuel.
Jean-Noël Liaut fait le pari de nous donner à voir Warhol sans tomber dans l’éternel débat du génie ou de l’imposteur. Il livre les faits, retrace petit à petit le chemin parcouru sans compromis, sans parti pris.
Des amis, nous en avons de toutes les sortes, de toutes les formes et de toutes les couleurs. Certains sont aimables. D’autres, grognons. Certains n’arrêtent pas de bavarder. D’autres aiment qu’on les laisse tranquilles…
A lire en toutes saisons
Bon voilà, c’est l’histoire d’une adulte qui revient sur le divorce de ses parents lorsqu’elle avait dix ans et tente de comprendre ses blessures. Dit comme ça, on s’en passerait bien, tant le sujet a été éculé. Et pourtant, ce serait sans compter sur l’écriture délicate de Sophie Lemp qui égrène avec une rare subtilité les souvenirs et les déchirements.
Ouvrir un nouveau Modiano consiste en une promenade sans cesse renouvelée dans le labyrinthe des souvenirs, des détails, là où se cachent les vérités.
Lumineux, intelligent, plein d’humour, de secrets, de saveurs, de parfums, de découvertes, d’odeurs… Tous nos sens explosent à la lecture du « Restaurant de l’amour retrouvé », de Ito Ogawa. En bonus, la découverte d’un Japon inattendu, surprenant, déroutant, subjuguant!
Eric Fottorino livre un magnifique roman où la plume se veut équilibriste pour conter l’incroyable secret dont il était l’objet et dont il ignorait tout jusqu’à ce repas de famille. Bouleversant!
Un petit livre de rien. Une histoire vraie. Des lettres. Des échanges. Et toute l’humanité entre les lignes… Vingt années de correspondance, débutée en 1949, entre une jeune américaine d’ascendance germanique, Helene Hanff, et un libraire londonien, Frank Doel, établit au 84 de la Charing Cross Road.
APO, comme Apollinaire. Nous sommes en 1911, le poète se voit emprisonné, soupçonné d’avoir participé au vol de La Joconde.