Aysuun | Ian Manook
Aysuun a cent six ans lorsqu’elle entame la narration de l’histoire des siens. Alors qu’elle n’en a que quinze, sa famille est massacrée par des soldats soviétiques débarquant au campement.
Aysuun a cent six ans lorsqu’elle entame la narration de l’histoire des siens. Alors qu’elle n’en a que quinze, sa famille est massacrée par des soldats soviétiques débarquant au campement.
Ubac arrive un peu par hasard dans la vie de l'auteur. C’est bien des années après la disparition de l’animal que l’homme écrit ces instants partagés, véritable réflexion sur la vie.
Deux égarés que rien ne devait se faire rencontrer, se retrouvent autour d’un manuscrit caché par l'un deux des années auparavant. La lecture de ce manuscrit servira de pont entre ces deux âmes en quête de sens.
Le jour de l’enterrement de son grand-père, Simon découvre que celui-ci a eu jadis un enfant avec une jeune Allemande alors qu’il était soldat. L’enfant dans le taxi, c’est le fils illégitime, renié, effacé. Le bâtard.
C’est la condition de la femme que Maggie O’Farrell expose dans ce roman, à une époque où les femmes de rang étaient des ventres, où les hommes avaient le droit de vie ou de mort sur leurs épouses, leurs sœurs, sur les femmes dans leur ensemble.
Ayant entamé sa carrière à vingt ans, Carlotta Berlumi, en pleine ascension, ne se méfie pas de sa rivale grecque, qu’elle juge indigne de son intérêt : « Callas ? Ça ne durera pas ! Vous verrez, bientôt, plus personne n’en parlera.
De son écriture brillante, teintée d’ironie, Mazarine Pingeot analyse les mécanismes du groupe, démontant les clichés sociétaux, interrogeant la dictature du ressenti propre à notre époque.
Ce roman retrace le parcours de quatre personnages, nés à quelques semaines d’intervalle et liés pour toujours. En toile de fond, les affrontements du XXème siècle et l'idée qu'on n'est jamais maître de son destin.
Cinq personnages unis par une même passion pour la musique vont évoluer autour d’une mystérieuse partition qui pourrait être attribuée au prolifique compositeur Scarlatti.
Antoine Wauters lie l’écriture à la fin de l’enfance, entreprenant une plongée vertigineuse vers son passé.